mercredi 3 août 2011

Un médecin confirme la réalité du MIND CONTROL


INTERVIEW du Dr. Rauni-Leena Luukanen Kilde, ancien médecin hygiéniste en chef pour la Laponie (Finlande).
  


En 1948, Norbert Weiner a publié un livre, CYBERNETICS, défini comme une communication sur la neurologie et sur la théorie de contrôle mental déjà utilisé dans des petits groupes à cette époque. Yoneji Masuda, "Père de la société de l'information», a déclaré son inquiétude en 1980, que notre liberté soit menacée par la technologie cybernétique de style Orwellien totalement inconnue de la plupart des gens. Cette technologie relie le cerveau des personnes par l'intermédiaire de micropuces implantées à des satellites contrôlés par des ordinateurs géants basés au sol. 

Les premiers implants cérébraux furent insérés chirurgicalement en 1974 dans l'état de l'Ohio, Etats-Unis, et aussi à Stockholm, en Suède. Des électrodes cérébrales ont été insérées dans les crânes de bébés en 1946 à l'insu de leurs parents. Dans les années 50 et 60, les implants électriques ont été insérés dans le cerveau d'animaux et d'humains, en particulier aux États-Unis, au cours de la recherche sur la modification du comportement, et sur le fonctionnement du cerveau et du corps. 
Des méthodes de contrôle mental (MC) furent employées dans des tentatives de modifier le comportement et les attitudes d'êtres humains. Influencer les fonctions du cerveau est devenu un objectif majeur pour les services de l'armée et du renseignement. 

Il y a trente ans, des implants cérébraux de la taille d'un centimètre furent découverts dans des radiographies. Les implants suivants furent réduits jusqu'à la taille d'un grain de riz. Ils ont été faits de silicium, et plus tard encore, d'arséniure de gallium. De nos jours, ils sont suffisamment petits pour être insérés dans le cou ou le dos, et aussi par voie intraveineuse dans différentes parties du corps lors d'opérations chirurgicales, avec ou sans le consentement de la personne. Il est maintenant presque impossible de les détecter ou de les enlever. 

Il est techniquement possible d'injecter à chaque nouveau-né une micropuce qui pourrait alors fonctionner à identifier la personne pour le reste de sa vie. De tels projets sont discutés en secret aux États-Unis, sans aucune diffusion publique des problèmes que cela implique pour le respect de la vie privée. En Suède, le Premier ministre Olof Palme a donné l'autorisation en 1973 d'implanter les prisonniers, et l'inspection des données de l'ex-directeur général Jan Freese a révélé que des patients de la maison de retraite ont été implantés au milieu des années 1980. La technologie est révélée dans le rapport de l'État suédois 1972:47, STATENS OFFICIELLA UTRADNINGER (SOU). 

Les êtres humains implantés peuvent être suivis n'importe où. Leurs fonctions cérébrales peuvent alors être contrôlés à distance par des superordinateurs et même modifiées au moyen la modification de fréquences. Les cobayes utilisés dans des expériences secrètes ont inclu des prisonniers, des soldats, des malades mentaux, des handicapés, des enfants et des personnes aveugles ou sourdes, des homosexuels, des femmes célibataires, des personnes âgées, des enfants en âge scolaire et de tout groupe de personnes considérées comme «marginal» par les expérimentateurs de l'élite. Les expériences publiées des prisonniers dans la prison de l'État de l'Utah, par exemple, sont choquantes pour la conscience. 

Les micro-puces d'aujourd'hui fonctionnent au moyen d'ondes radio de basse fréquence qui les ciblent. À l'aide de satellites, la personne implantée peut être suivie partout sur ​​le globe. Une telle technique figurait, parmi un certain nombre de techniques testées pendant la guerre d'Irak, selon le Dr. Carl Sanders, qui a inventé l'interface biotique équipée d'intelligence(IMI), injectée dans des êtres humains. (Auparavant, au cours de la guerre du Vietnam, des soldats ont été injectés avec la puce Rambo, conçue pour augmenter le débit d'adrénaline dans la circulation sanguine.) Les super ordinateurs de la National Security Agency des Etats-Unis (NSA) capables de calculer 20 milliards de bits par seconde pourraient, à présent, "voir et entendre" ce que les soldats éprouvent sur le champ de bataille, avec un système de télésurveillance (remote monitoring system ou RMS). 

Quand une puce de 5 micromillimètres (le diamètre d'un cheveu est de 50 micromillomètres) est placée dans le nerf optique de l'œil, elle capte les impulsions neurales du cerveau qui incarnent les expériences, les odeurs, la vue et la voix de la personne implantée. Une fois transférées et stockées dans un ordinateur, ces neuroimpulsions peuvent être reprojetées dans le cerveau de la personne via la puce, pour permettre le renouvellement de telles expériences. En utilisant un système de télésurveillance (RMS), un opérateur d'ordinateur basé au sol peut envoyer des messages électromagnétiques (encodés comme des signaux) au système nerveux, affectant la performance de la cible. Grâce au RMS, des personnes en bonne santé peuvent être amenées à voir des hallucinations et à entendre des voix dans leur tête. 

Chaque pensée, réaction, audition et observation visuelle provoque un certain potentiel neurologique, des pics et des modèles dans le cerveau et ses champs électromagnétiques, qui peuvent à présent être décodés en pensées, images et voix. La stimulation électromagnétique peut donc modifier les ondes cérébrales d'une personne et affecter l'activité musculaire, provoquant des crampes musculaires douloureuses vécues comme une torture. 

Le système électronique de surveillance de la NSA peut simultanément suivre et manipuler des millions de personnes. Chacun de nous possède une fréquence de résonance bioélectrique unique dans le cerveau, tout comme nous possédons des empreintes digitales uniques. La fréquence électromagnétique (EMF) du cerveau étant entièrement codée, des signaux électromagnétiques pulsants peuvent être envoyés au cerveau, provoquant la voix, les effets visuels que l'on désire que la cible éprouve. C'est une forme de guerre électronique. Des astronautes américains furent implantés, avant d'être envoyés dans l'espace, de façon à ce que leurs pensées puissent être suivies et que toutes leurs émotions puissent être enregistrées 24 heures sur 24. 

Le Washington Post rapporta en mai 1995 que le prince William de Grande-Bretagne avait été implanté à l'âge de 12 ans. Ainsi, si jamais il était enlevé, une onde radio avec une fréquence spécifique pourrait être envoyée jusqu'à sa micro-puce. Le signal de la puce serait suivi via satellite sur l'écran d'ordinateur du quartier général de la police, où les mouvements du prince pourraient être suivis. Il pourrait en fait être situé n'importe où, dans le monde. 

Les mass médias n'ont pas signalé que la vie privée d'une personne implantée disparaît pour le reste de son existence. Cette personne peut être manoeuvrée de plusieurs manières, toutes différentes les unes des autres. En utilisant différentes fréquences, le contrôleur secret de cet équipement peut même modifier la vie émotive d'une personne. Il est possible de la rendre agressive ou léthargique. Sa sexualité peut être artificiellement influencée. Des signaux de pensée et la pensée subconsciente peuvent être lus, des rêves peuvent être affectés et même induits, tout cela à l'insu et sans le consentement de la personne implantée. 

Un cyber-soldat parfait peut donc être créé. Cette technologie secrète a été employée par les forces militaires dans certains pays de l'OTAN, depuis les années 80, sans que les populations civiles et académiques aient entendu quoi que ce soit à son sujet. Donc, peu d'informations sur de tels systèmes invasifs de contrôle mental sont disponibles dans les journaux professionnels et académiques. 

Le signaux de l'intelligence de la NSA peuvent surveiller à distance l'information des cerveaux humains, en décodant les potentiels évoqués (3.50hz, 5 milliwatts) émis par le cerveau. Il s'avéra que des prisonniers faisant l'objet d'expérience à Gothenburg, en Suède et à Vienne, en Autriche, eurent des lésions cérébrales. Une circulation sanguine diminuée et un manque d'oxygène dans le lobe frontal et le lobe temporal droits sont les conséquences des endroits, où les implants cérébraux sont habituellement utilisés. Un sujet d'expérience finlandais a subi une atrophie cérébrale et des attaques intermittentes de perte de conscience, dues au manque d'oxygène.

Les techniques de contrôle mental peuvent être employées à des fins politiques. Le but des contrôleurs de l'esprit est aujourd'hui d'inciter les personnes ou les groupes de personnes visés à agir contre leurs propres convictions et contre leurs meilleurs intérêts. Des individus zombifiés peuvent même être programmés pour assassiner et n'avoir aucun souvenir de leur crime par la suite. Des exemples alarmants de ce phénomène peuvent être trouvés aux États-Unis. 

Cette "guerre silencieuse" est conduite par l'armée et les agences de renseignement, contre des civils totalement ignorants des faits et contre des soldats. Depuis 1980, la stimulation électronique du cerveau (ESB) a été secrètement utilisée pour contrôler les personnes ciblées à leur insu et sans leur consentement. Tous les accords internationaux des droits de l'homme interdisent la manipulation non consentie des êtres humains -- même dans les prisons, et ce, sans même parler des populations civiles. Sur l'initiative du sénateur américain John Glenn, des discussions ont débuté en janvier 1997 concernant les risques d'irradiations des populations civiles. Viser les fonctions cérébrales des gens avec des champs et des faisceaux électromagnétiques (à partir d'hélicoptères et d'avions, de satellites, à partir de camionnettes blanches en stationnement, à partir de maisons voisines, de poteaux téléphoniques, d'appareils électriques, de GSM, de la TV, de la radio, etc.), fait partie du problème de rayonnement qui devrait être abordé dans les corps de gouvernements démocratiquement élus. 

En plus du contrôle mental électronique, des méthodes chimiques ont été également développées. Des drogues altérant l'esprit et différents gaz odorants affectant négativement la fonction cérébrale peuvent être injectés dans des conduits d'air ou des conduites d'eau. En outre, des bactéries et des virus ont été testés de cette manière dans plusieurs pays. 

La supertechnologie d'aujourd'hui, reliant nos fonctions cérébrales par l'intermédiaire de micro-puces (ou même sans elles, selon la dernière technologie) à des ordinateurs à travers des satellites aux Etats-Unis ou en Israël, pose la plus grave menace pour l'humanité. Les derniers super ordinateurs sont assez puissants pour surveiller la population du monde entier. Qu'adviendra-t-il lorsque les gens seront tentés par de fausses promesses, afin de permettre l'insertion de puces dans leurs corps? Un leurre, parmi d'autres, sera une "carte d'identité micro-puce". On est même allé jusqu'à proposer secrètement une législation obligatoire aux Etats-Unis, afin de criminaliser tout retrait d'un implant d'identification. 

Sommes-nous prêts pour la robotisation de l'humanité et pour l'élimination totale de la vie privée, y compris la liberté de pensée? Combien d'entre nous voudraient céder leur vie entière, y compris leurs pensées les plus secrètes, à Big Brother? Pourtant, la technologie existe afin de créer un "nouvel ordre mondial" totalitaire. Les systèmes de communication neurologiques secrets sont en place pour contrecarrer la pensée indépendante et pour contrôler l'activité sociale et politique, au nom des intérêts privés et militaires égoïstes. 

Quand nos fonctions cérébrales seront déjà reliées aux ordinateurs géants, au moyen d'implants radio et de micro-puces, il sera trop tard pour protester. Cette menace peut être vaincue, seulement en instruisant le public, en utilisant la littérature disponible sur la biotélémétrie, ainsi que l'information échangée, lors de congrès internationaux. 

Une des raisons pour laquelle cette technologie est demeurée un secret d'état, est le prestige à grande échelle du MANUEL STATISTIQUE DE DIAGNOSTIC IV de psychiatrie produit et publié en 18 langues par l'Association Psychiatrique Américaine (APA) des Etats-Unis. Les psychiatres travaillant pour les agences de renseignement américaines ont sans aucun doute participé à la rédaction et à la mise à jour de ce manuel. Cette "bible" psychiatrique dissimule le développement secret des technologies de contrôle de l'esprit, en étiquetant certains de leurs effets comme étant des symptômes de la schizophrénie paranoïde. 

Les victimes de l'expérimentation du contrôle mental sont donc diagnostiquées ainsi, systèmatiquement, de manière automatique, comme étant mentalement malades, par des médecins qui ont appris la liste de "symptômes" du manuel statistique de diagnostic à l'école de médecine. On n'a pas enseigné aux médecins que les patients peuvent dire la vérité, lorsqu'ils rapportent le fait d'être ciblés contre leur volonté ou le fait d'être utilisés comme cobayes pour des formes électroniques, chimiques et bactériologiques de guerre psychologique. Le temps est compté pour changer la direction de la médecine militaire, et pour assurer le futur de la liberté humaine. 





Rauni Kilde, docteur en médecine. 

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